Doula : un mot ancien, une présence intemporelle

Né dans la Grèce antique, le mot doula signifiait « celle qui veille sur la femme ». Déjà, les récits racontaient la présence douce et courageuse de femmes comme Galanthis, qui accompagna la naissance d’Héraclès.
Depuis toujours, les femmes ne traversent pas la naissance seules : une présence d’expérience les entoure, les soutient, les rassure.

Aujourd’hui, la doula perpétue cette lignée ancienne.
Elle marche aux côtés des familles, offre écoute, chaleur, clarté, et tient l’espace pour que chacun trouve sa force et sa voie. Dans de nombreux pays — comme la Suisse, le Canada, ou les Pays-Bas — sa place est pleinement reconnue : celle d’une présence humaine qui adoucit, éclaire et sécurise le chemin de la parentalité.

Avoir une doula, c’est s’offrir un souffle, un repère, une main tendue dans ce passage intime qu’est la matrescence.
Une présence qui n’impose rien, mais qui accompagne tout.
Une lumière discrète, qui aide à faire naître non seulement un enfant… mais aussi une mère, un parent, une famille.

Et en France ?

En France, le métier de doula n’est pas encore reconnu par un cadre légal ou une réglementation officielle.

Pourtant, choisir d’être accompagnée par une doula, c’est déjà faire bouger les lignes.
Dans une société de plus en plus individualiste, où la solitude et la pression peuvent peser sur les femmes et les familles, cette présence bienveillante restaure ce lien essentiel, humain et attentif.
C’est honorer l’importance de l’accompagnement des femmes, restaurer une tradition millénaire et soutenir l’émergence d’un métier qui prend soin, avec douceur et profondeur.
En t’offrant cette présence, tu prends soin de toi — et tu contribues, à ta manière, à faire évoluer les mentalités et à donner une vraie place aux doulas dans le paysage périnatal de demain.

Mon accompagnement ne remplace en aucun cas le suivi médical (sage-femme, gynécologue) dont tu as besoin,

il est complémentaire .